La pellicule a ceci que le numérique n’a pas: la surprise. On prend une photo et on constate le résultat. Point. Pas d’heures interminables à passer devant l’ordinateur à essayer de trouver le meilleur réglage pour faire ressortir le sujet de la photo. Tout ce qu’on a, ce sont les capacités du rouleau de pellicule et la lumière qui viendra s’appliquer dessus.
J’ai reproduit un peu cette expérience avec mon boitier numérique aujourd’hui: format JPG, noir et blanc dès la prise de vue. Aucune modification apportée, si ce n’est que du recadrage. Voici donc.
Le point de fuite
Centre-ville, six heures moins dix
Dernier droit