La mobilisation citoyenne
L’émotion des manifs
L’OPDS à l’abordage de la Bourse
La manif toute garnie
Quand la droite manifeste… ou presque!
Une question de choix
Le traditionnel 1er mai syndical
Budget: le peuple se prononce
Nul besoin de vous raconter la manifestation de jeudi au centre-ville et dans le quartier des affaires, les médias l’ont assez fait. Mais je vais quand même me permettre de vous présenter quelques photos.
Sans titre
Sans titre
Schtroumpf contribuable
La rage du peuple
Sans titre
Sans titre
Sans titre
Estrade improvisée
La richesse existe, elle est dans la poubelle
Bourses d’études et niaisage fédéral-provincial
Ahhhhh j’avais hâte de publier ces photos. Désolé pour le retard, je devais m’assurer de ne pas faire de cadeau à la police.
C’était le 2 décembre dernier. Dans la foulée de la création du Programme canadien de bourses d’études, l’Association pour une solidarité syndicale étudiante manifestait pour réclamer que le Québec reçoive sa part de l’argent investi. Les étudiant(e)s ont d’ailleurs obtenu gain de cause récemment à ce sujet, bien que Québec semble vouloir en prendre une partie pour payer la dette. Au programme, une marche et deux occupations: le hall d’entrée de l’Agence du revenu du Canada et le bureau de comté du ministre Bachand, sur Côte-des-Neiges.
Facebookiens et Facebookiennes, vous pouvez voir et commenter ces photos et quelques autres sur la page de l’événement, dans la section des photos.
Vingt heures d’auto-gestion dans Pointe-Saint-Charles
Puisque je vous ai parlé du Centre social autogéré (CSA) de Pointe-Saint-Charles dans mon précédent billet, je me rappelle que, oh quelle coincidence, je n’ai toujours pas publié le photo-reportage de l’éviction.
Il était une fois, en mai dernier, un CSA plein de gens motivés qui décida de s’installer dans une manufacture de chandelles abandonnée, sur la rue Saint-Patrick. Le propriétaire, apprenant la nouvelle, demanda à la police de vider la place. Ce qu’elle fit le lendemain, d’une façon assez violente, avant même de lire l’avis d’éviction, d’ailleurs. Les membres du CSA envoyèrent un message via Internet pour demander du renfort, mais comme Pointe-Saint-Charles ce n’est pas la porte d’à côté, j’ai manqué le gros de l’action.
Une promenade dans les rues du quartier commença. La Fanfare anarchiste s’occupait de l’ambiance, tandis que les policiers gardaient quelques yeux sur le groupe.
Ça ressemblait à une simple manifestations qui allait se finir dans un parc ou à une station de métro… mais non, SURPRISE! Le CSA avait prévu un plan B. Le travail reprit donc de plus belle dans un autre bâtiment abandonné…
… mais pas pour longtemps.
Au bout d’un moment rempli de courtoisie policière et de mots d’amour de la part des manifestant(e)s, la marche reprit jusqu’à la station de métro Lasalle, où un retour sur les deux journées et un petit discours d’on-se-reverra-au-prochain-épisode furent prononcés.