Controverse autour d'une nouvelle publicité électorale du Parti Libéral du Québec: le PLQ avait-il le droit d'utiliser ces images? Voyons ce que le droit en dit.
Un de mes appareils-photos a brisé. J'en appelle à la générosité de tous ceux et celles qui ont bénéficié, ou vu leur organisation bénéficier, de mes photos gratuitement. Aujourdhui, malheureusement, c'est moi qui ai besoin de votre aide.
Puisque Facebook ne fait pas déjà assez couler d'encre au sujet de ses conditions d'utilisation versus le droit d'auteur, on a attiré mon attention vers une clause qui rend tout contenu publiquement publié utilisable librement par tout le monde et son chien.
Lors des manifestations, il y a des gens qui prennent des images. Il y a des gens qui empêchent d'autres gens de prendre des images. Mais quand je vois ces deux personnes réunies en une seule, mon poil se hérisse devant autant d'inconséquence. Voici mon coup de gueule du jour.
Encore aujourd'hui, en couvrant une manifestation, j'ai été témoin de violence et d'intimidation à l'endroit des médias. Je me permets donc de sortir de l'objectivité pour dénoncer ce comportement et expliquer pourquoi les manifestants gagneraient à s'ajuster. Un texte qui veut sortir de ma plume depuis déjà belle lurette.
Il y a quelques semaines, j'ai profité d'un moment libre pour aller prendre quelques clichés à la gare de trains de banlieue Bois-Francs. Malheureusement, deux inspecteurs firent leur apparition et, comme je m'y attendais, décidèrent d'outrepasser la limite de leur pouvoir.
Un photographe que je connais se trouve dans une situation malheureusement courante: une de ses photos est utilise librement par un journal, qui l'a reçu par courtoisie d'une organisation qui n'avait pas le droit de la partager.
Ma cour est la photographie, ce n'est pas le journalisme. Mais, entre vous et moi, la photographie de presse y est étroitement reliée. Un débat a cours présentement dans la communauté journalistique au sujet d'un titre professionnel de journaliste. Je me lance dans l'arène avec mon opinion là-dessus.
Le ministre de la santé disait tout récemment vouloir régler l'accès à un médecin de famille d'ici 2016. La FMOQ a réagi, mais deux médias importants ne s'entendent pas sur la réaction de son président, la discordance se lisant jusque dans le titre des deux articles...
Coup de gueule à l'endroit de la guignolée des médias, qui avait lieu hier, et qui fait ressortir encore plus l'hypocrisie de cette charité à laquelle les grandes corporations participent.